François Gay, directeur du BIOPAC, et Laetitia Saint-Paul à la grande volière sud-américaine du BIOPARC.
Mercredi 29 août, j’ai eu un grand plaisir à rencontrer François Gay, directeur du BIOPARC de Doué-la-Fontaine.
Au-delà de la visite du parc, j’ai pu mesurer la formidable aventure humaine et familiale que représente ce lieu implanté sur un site unique troglodytique, typique de notre région. Trois générations, du grand-père au petit-fils, au service d’une même passion pour les animaux sauvages et pour la cause de la préservation de la biodiversité.
Un parc à vocation pédagogique qui permet à chacun de prendre conscience de la richesse de la nature mais aussi de sa fragilité et de notre responsabilité de la préserver.
Une belle réussite qui permet de soutenir des associations dans les pays d’origines des animaux afin de les accompagner dans leur démarche de conservation d’espèces ou de milieux naturels menacés. Tel l’exemple de la réserve de Kouré, à 60 kilomètres à l’est de Niamey (Niger) où désormais plus de 500 girafes sont recensées alors que l’espèce était en voie d’extinction avec une cinquantaine d’individus en 1995.
Enfin, un bel exemple d’initiative citoyenne au service de l’écologie.
Perroquets à la grande volière sud-américaine du BIOPARC.
Dello Haino, artiste forgeron nigérien, réalise au BIOPARC des sculptures avec la technique traditionnelle de la cire perdue. Il initie Laetitia Saint-Paul à cette technique.
Le camp des girafes du BIOPARC.