• Report de charges fiscales et sociales, annulations pouvant être envisagées au cas par cas : effort de trésorerie pour l’Etat de 35 Md€
  • Chômage partiel à hauteur de 84 % du salaire net dans la limite de 4.5 SMIC et à 100 % pour les salariés au SMIC : provision pour les deux mois à venir de 8 Md€, dont 5,5 Md€ financés par l’Etat
  • Fond de solidarité, co-alimenté par les régions, de 1 Md€, 750 M€ financés par l’Etat pour octroyer une prime de 1 500 € aux petites entreprises, indépendants, et microentreprises en difficultés
  • Garantie d’Etat, pour un montant total de 300 Md€, aux crédits contractés entre le 16 mars et le 31 décembre 2020 par les entreprises non financières

Par ailleurs, l’Etat incite les acteurs économiques à « mettre de l’huile dans les rouages » de façon à protéger les entreprises fragiles, par exemple en encourageant les banques à différer de six mois les remboursements des crédits contractés par les entreprises.

L’assainissement des finances publiques mis en œuvre depuis le début du quinquennat, a permis de déployer d’autant plus facilement cet arsenal de mesures. Ce projet de loi a été adopté à l’unanimité des présents et adopté conforme par les deux Chambres, signes de l’union nationale.

Espérant que ces mesures inédites, à la hauteur de la situation que nous vivons, permettront à notre pays d’affronter la crise sanitaire dans les meilleures conditions possibles pour la santé et le maintien des ressources de tous.

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